A la poursuite des momiji, chapitre 2
新宿御苑 shinjuku gyoen, est à classer dans LA liste des choses à faire pour le touriste lambda. Immense (60 hectares environ), il regroupe des jardins au style différent : à la française, à l'anglaise, et à la japonaise. On sent le travail acharné quotidien afin de rendre réel ces magnifiques tableaux flottants. Ici, l'automne dans toute sa splendeur. Bon ok, les momiji a avoir rougi sont très peu nombreux encore (c'est encore un peu trop tôt) mais qu'est ce que la Nature peut faire de beau tout de même. Cette ville n'a décidément pas fini de me surprendre.
Qui dit donc automne, dit :
- se rouler par terre au milieu des feuilles mortes et les écraser par dizaine pour le bruit qu'elles émettent ! (faut toujours conserver son âme de gosse :-)))
- apprécier ce que la nature peut nous offrir quand les feuilles se mettent à tomber
- admirer la palette des couleurs que la saison nous propose : jaune, orange, rouge... : un vrai livre d'image colorié au feutre
...
Bref, le seul inconvénient je dirais, c'est que le parc ferme bien trop tôt (16H30). Du coup, on ne peut pas le voir à quoi il ressemble la nuit. Sans doute parce qu'il n'a plus rien à offrir au visiteur :-)
Et dernière chose : on a le droit de marcher sur la pelouse autant qu'on veut. Le Japonais étant si respectueux de l'environnement. C'est pas comme près du belvédère aux Buttes-Chaumont (hum hum) !
- se rouler par terre au milieu des feuilles mortes et les écraser par dizaine pour le bruit qu'elles émettent ! (faut toujours conserver son âme de gosse :-)))
- apprécier ce que la nature peut nous offrir quand les feuilles se mettent à tomber
- admirer la palette des couleurs que la saison nous propose : jaune, orange, rouge... : un vrai livre d'image colorié au feutre
...
Bref, le seul inconvénient je dirais, c'est que le parc ferme bien trop tôt (16H30). Du coup, on ne peut pas le voir à quoi il ressemble la nuit. Sans doute parce qu'il n'a plus rien à offrir au visiteur :-)
Et dernière chose : on a le droit de marcher sur la pelouse autant qu'on veut. Le Japonais étant si respectueux de l'environnement. C'est pas comme près du belvédère aux Buttes-Chaumont (hum hum) !
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