La suite des aventures de l'agent très spécial Hubert OSS 117, envoyé à Rio pour contrer les machiavéliques plans d'une société nazi qui espère instaurer un quatrième reich.
Après le Caire nid d'espion, Jean Dujardin réendosse son rôle de parfait crétin en agent secret et cela ... pour notre plus grand plaisir ! Plus grave, plus nul, plus con que le premier opus, Rio ne répond plus remplit très bien son contrat et fait même plus : son humour décalé ne nous lasse pas. On aurait pu s'attendre à un vautrage total, une pâle copie du premier épisode. Et bien non, ici c'est sujet aux années 70 avec une image et une photographie très soignées (un point souvent ignoré lorsqu'on tourne une comédie) faisant presque un hommage au kitsch de l'époque. Jean Dujardin est simplement irrésistible et son rôle lui va comme un gant. Raciste, homosexuel refoulé, bête et narcissique, son personnage nous fait rire par ses blagues pas drôles, ses vannes qui font pitié, et son sourire qui trahit sa niaiserie. Louise Monot, quant à elle, est bellement charismatique avec ses hilarantes mimiques.
Le réalisateur Hazanavicius nous épate : il fait remonter dans notre estime la comédie française qui a décidément encore de beaux jours devant elle. Des gags inventifs, qui font rire, jamais vulgaires ; des répliques savoureuses, recherchées, qui font toujours mouches. L'on pourra peut être reprocher si on veut faire notre chiant de tiquer sur un excès de phrases à tendance raciste. De temps en temps, ça peut faire rire ; mais à long ou moyen terme, ça peut en rebuter certains.
Un petit bijou burlesque donc, qui met en scène un Dujardin super ringard et qu'on adore. On rit, c'est intelligent, les paysages sont splendides ... Que demander de plus ? Un autre volet pardi !
Après le Caire nid d'espion, Jean Dujardin réendosse son rôle de parfait crétin en agent secret et cela ... pour notre plus grand plaisir ! Plus grave, plus nul, plus con que le premier opus, Rio ne répond plus remplit très bien son contrat et fait même plus : son humour décalé ne nous lasse pas. On aurait pu s'attendre à un vautrage total, une pâle copie du premier épisode. Et bien non, ici c'est sujet aux années 70 avec une image et une photographie très soignées (un point souvent ignoré lorsqu'on tourne une comédie) faisant presque un hommage au kitsch de l'époque. Jean Dujardin est simplement irrésistible et son rôle lui va comme un gant. Raciste, homosexuel refoulé, bête et narcissique, son personnage nous fait rire par ses blagues pas drôles, ses vannes qui font pitié, et son sourire qui trahit sa niaiserie. Louise Monot, quant à elle, est bellement charismatique avec ses hilarantes mimiques.
Le réalisateur Hazanavicius nous épate : il fait remonter dans notre estime la comédie française qui a décidément encore de beaux jours devant elle. Des gags inventifs, qui font rire, jamais vulgaires ; des répliques savoureuses, recherchées, qui font toujours mouches. L'on pourra peut être reprocher si on veut faire notre chiant de tiquer sur un excès de phrases à tendance raciste. De temps en temps, ça peut faire rire ; mais à long ou moyen terme, ça peut en rebuter certains.
Un petit bijou burlesque donc, qui met en scène un Dujardin super ringard et qu'on adore. On rit, c'est intelligent, les paysages sont splendides ... Que demander de plus ? Un autre volet pardi !
3 commentaires:
ça m'étonne que tu aimes bien jean dujardin et ses films ringards!!!! moi à part dans un gars une fille je n'aime pas trop... ah les gouts et les couleurs! (mais c'est vrai que te connaissant ça m'étonne lol)
Je l'ai détesté dans Brice de Nice. Ce ne sont pas ses films qui sont ringards mais les personnages qu'il incarne : ce qui est totalement différent !
Et preuve que tu ne me connais apparemment pas ...
(... une fois de plus ...)
et bing prends toi ça dans la tronche! je te relaisserais des commentaires...
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