Aujourd'hui mercredi 26 mars.
Je me lève.
Je prends mon petit déjeuner.
Je me douche.
Je travaille mes cours.
Je sors pour aller à la bibliothèque.
Je travaille mes cours.
Je vais à l'université.
Je prends le métro.
Je boit un café. Et je lis le journal.
Je vais à mon cour.
Je ressors de mon cour.
Je retourne chez moi.
Et si le quotidien était un moyen de voir de l'extraordinaire dans de l'ordinaire ?
Aujourd'hui mercredi 26 mars, cinquième jour du printemps.
Je me lève, le rayon matinal perçant mon rideau jaune.
Je prends mon petit déjeuner, lait chaud et tartines de confiture à la fraise.
Je me douche, Julee Cruise chantant derrière ma cabine.
Je travaille mes cours en m'imaginant être près d'une île déserte, mon bureau perdu en pleine mer.
Je sors pour aller à la bibliothèque, et sur le chemin, le vent me décoiffe. Les gens semblent être pris d'une frénésie de chanter.
Je travaille mes cours en retournant sur mon île déserte.
Je vais à l'université, et je regarde des arbres avec des fleurs à son pied. Les trottoirs semblent envahis de tulipes. Il n'y a plus de voitures aux alentours.
Je prends le métro, et je me met à imaginer la vie de chacun autour de moi.
Je bois un café comme celui que mamie fait si bien, et je lis le journal en épiant certaines personnes comme dans les grands policiers.
Je vais à mon cour de sorcellerie.
Je ressors de mon cour, et je regarde le ciel, plus noir que jamais. Il est 20h.
Je retourne chez moi sur mon cheval et parcoure tout Paris sur son dos.
Et pourquoi pas ?
Je me lève.
Je prends mon petit déjeuner.
Je me douche.
Je travaille mes cours.
Je sors pour aller à la bibliothèque.
Je travaille mes cours.
Je vais à l'université.
Je prends le métro.
Je boit un café. Et je lis le journal.
Je vais à mon cour.
Je ressors de mon cour.
Je retourne chez moi.
Et si le quotidien était un moyen de voir de l'extraordinaire dans de l'ordinaire ?
Aujourd'hui mercredi 26 mars, cinquième jour du printemps.
Je me lève, le rayon matinal perçant mon rideau jaune.
Je prends mon petit déjeuner, lait chaud et tartines de confiture à la fraise.
Je me douche, Julee Cruise chantant derrière ma cabine.
Je travaille mes cours en m'imaginant être près d'une île déserte, mon bureau perdu en pleine mer.
Je sors pour aller à la bibliothèque, et sur le chemin, le vent me décoiffe. Les gens semblent être pris d'une frénésie de chanter.
Je travaille mes cours en retournant sur mon île déserte.
Je vais à l'université, et je regarde des arbres avec des fleurs à son pied. Les trottoirs semblent envahis de tulipes. Il n'y a plus de voitures aux alentours.
Je prends le métro, et je me met à imaginer la vie de chacun autour de moi.
Je bois un café comme celui que mamie fait si bien, et je lis le journal en épiant certaines personnes comme dans les grands policiers.
Je vais à mon cour de sorcellerie.
Je ressors de mon cour, et je regarde le ciel, plus noir que jamais. Il est 20h.
Je retourne chez moi sur mon cheval et parcoure tout Paris sur son dos.
Et pourquoi pas ?
1 commentaire:
Il suffit juste d'un peu d'imagination =3 (t'as enfin compris le concept de ce sourire mdr...).
Mais quand on se lève et que la tête ne suit pas, plus précisément qu'elle se trouve dans le xxx, l'imagination va pas, et c'est plus le soleil et les belles femmes que tu vois et qui chantent derrière ta douche, c'est plutôt Chuck Norris au banjo et des giboulées de parpaings XD.
Drôle, t'as transformé c'qui avait la forme d'un poème mais un fond très banal en une histoire que tout le monde se doute qu'elle ne s'est produite que dans ta tête, mais justement, c'est là le principal non, tant que le moral est au beau fixe! =D
Perso et on en a discuté y'a peu, ma version c'est "l'ordinaire peut devenir comique pour qui a l'esprit aussi naze que le mien", mais dès que j'ai une connerie à sortir j'peux pas résister (et j'assume!).
Bref, l'ordinaire hein...
HAVE A NICE DAY!! =3
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