A la fin du XIXe siècle, dans le Paris de la Belle Epoque, Christian, un jeune poète désargenté, s'installe dans le quartier de Montmartre. Il découvre un univers où se mêlent sexe, drogue et french cancan, mais se rebelle contre ce milieu décadent en menant une vie de bohème. Christian rêve d'écrire une grande pièce, et le peintre Henri de Toulouse-Lautrec est prêt à lui donner sa chance. Celui-ci a besoin d'un spectacle grandiose pour le Moulin Rouge et le poète est embauché pour rédiger le livret de la revue. C'est là qu'il tombe amoureux de la courtisane Satine, la star du prodigieux cabaret....
Moulin rouge débute par l'ouverture d'un rideau. Ce n'est pas un film mais un spectacle auquel nous allons assister. Moulin rouge, c'est un enchantement. Indescriptible de par son avalanche d'effets de style durant les vingt premières minutes (on aime ou on déteste), le film reste maîtrisé de bout en bout. Avec ses couleurs flamboyantes et ses strass & paillettes, Moulin rouge est un feu d'artifice coloré, bruyant et enivrant. On reste ensorcelé, captif devant tout ce tintamarre presque visuel, et surtout devant le talent de ses acteurs ; ils s'éclatent littéralement et poussent la chansonnette jusque dans des performances épatantes. Nicole Kidman, Ewan McGrégor... on est sous le charme. Baz Lurhmann nous avait habitué dans son dernier long-métrage Roméo + Juliette à mélanger classique et moderne. Ici, c'est avec un malin plaisir qu'il en remet une couche. Et quelle couche ! Du "Roxanne" version tango (implicitement l'une des scènes les plus sauvagement érotique du cinéma) au Lady Marmelade endiablé, Moulin rouge devient au final un film survitaminé, d'une inépuisable énergie visuelle et auditive, et proposant une grande parade d'amour entre deux ballets enfiévrés. Bien que cliché dans le fond (le poète désabusé tombant amoureux de la courtisane en détresse), Moulin rouge aurait pu se faire baptiser Roméo et Juliette 2 de par son histoire d'amour passionné. On est loin d'imaginer de tout le travail de fou que le réalisateur a du effectuer pour pondre ce petit bijou musical (des plans qui ont la bougeotte, des costumes et des décors d'une profonde richesse, des chorégraphies spectaculaires, des effets visuels renversants...). Qu'importe, on savoure chaque instant et la festivité du spectacle devient communicative. Inutile d'une longue critique, le film ressort comme hallucinatoire et tient en un mot : grandiose !
Moulin rouge débute par l'ouverture d'un rideau. Ce n'est pas un film mais un spectacle auquel nous allons assister. Moulin rouge, c'est un enchantement. Indescriptible de par son avalanche d'effets de style durant les vingt premières minutes (on aime ou on déteste), le film reste maîtrisé de bout en bout. Avec ses couleurs flamboyantes et ses strass & paillettes, Moulin rouge est un feu d'artifice coloré, bruyant et enivrant. On reste ensorcelé, captif devant tout ce tintamarre presque visuel, et surtout devant le talent de ses acteurs ; ils s'éclatent littéralement et poussent la chansonnette jusque dans des performances épatantes. Nicole Kidman, Ewan McGrégor... on est sous le charme. Baz Lurhmann nous avait habitué dans son dernier long-métrage Roméo + Juliette à mélanger classique et moderne. Ici, c'est avec un malin plaisir qu'il en remet une couche. Et quelle couche ! Du "Roxanne" version tango (implicitement l'une des scènes les plus sauvagement érotique du cinéma) au Lady Marmelade endiablé, Moulin rouge devient au final un film survitaminé, d'une inépuisable énergie visuelle et auditive, et proposant une grande parade d'amour entre deux ballets enfiévrés. Bien que cliché dans le fond (le poète désabusé tombant amoureux de la courtisane en détresse), Moulin rouge aurait pu se faire baptiser Roméo et Juliette 2 de par son histoire d'amour passionné. On est loin d'imaginer de tout le travail de fou que le réalisateur a du effectuer pour pondre ce petit bijou musical (des plans qui ont la bougeotte, des costumes et des décors d'une profonde richesse, des chorégraphies spectaculaires, des effets visuels renversants...). Qu'importe, on savoure chaque instant et la festivité du spectacle devient communicative. Inutile d'une longue critique, le film ressort comme hallucinatoire et tient en un mot : grandiose !
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